Chalom Anaëlle,
Aucun des deux.
Après la Amida, il y a le Vidouy où nous mentionnons nos péchés, et juste après, nous disons :
« Vaya’avor Ado-naï Al Panav Vayikra, Ado-naï ; Ado-naï… ».
Immédiatement après les mots « Ado-naï, Ado-naï », commencent les 13 attributs de miséricorde d’Hachem
(il s’agit bien des 13 attributs de miséricorde et non des 13 articles de foi de Maïmonide qui, eux, sont en fin de prière).
Après la Akédat Itsh’ak, nous lisons le verset de Mikha :
« Mi El Kamokha Nossé Avone… »
qui, lui aussi, correspond quelque part aux 13 attributs de miséricorde d’Hachem que l’on récite après la Amida.
Mais contrairement au dernier, on peut lire ce verset de Mikha sans avoir besoin de 10 personnes.
Au revoir,
Rav Ron Chaya