Bonjour Rav,
En lisant dans plusieurs sidourim séfarades différents, je me suis rendu compte qu’il y a souvent des différences au niveau des mots avec la deuxième personne du singulier.
Par exemple :
- A la fin de la Amida dans Élohai Nétsor,
- on trouve tantôt « osse lema’an shémékha »
- (par exemple dans Ich Matslia’h)
- (par exemple dans Ich Matslia’h)
- tantôt « osse lema’an shémakh »
- (dans Yé’havé Da’at),
- (dans Yé’havé Da’at),
- on trouve tantôt « osse lema’an shémékha »
- Même chose avec
- « yéminékha/yéminakh »,
- « toratékha/toratakh »,
- etc.
- et ce dans pleins d’endroits différents de la prière.
Quelle est la raison de cette différence ?
Il y a-t-il une forme préférable ?
Merci pour tout ce que vous faites