Bonjour Rav,
j'ai vu votre récent cours où vous parlez du fait de s’écraser même quand on a raison, et vous avez corrélé ce trait de caractère avec le fait que la vie du petit enfant a été sauvé.
Je ne vous cache pas que cette dimension de la Torah dont vous nous avez fait part m'a "touché" ; le fait de ne pas juger al pi din son prochain et on ne sera pas jugé par Hachem al pi din.
Je n'ai aucune question mais je voulais simplement vous faire part d'un enseignement qu'un maguid chiour a recu et qu'il nous a transmis.
Cet enseignement provient du Rav Herera Chalita.
On lui avait soumis la Halakha selon laquelle une personne victime de motzi chem ra n'était pas obligée, al pi din, de pardonner même après trois demandes de pardon de la part du fauteur.
Aussitot il a répondu, "bravo, vous connaissez la halakha mais comment pouvez vous dire tous les soirs aréni mohel vesolééah lekol mi cheyihniss oti..., c'est un mensonge!"
Lorsque vous avez raconté le miracle et la leçon qu'il fallait en tirer j'ai tout de suite penser a cette histoire que ce Maguid chiour a raconté et je voulais vous la faire partager.
Kol touv et encore bravo pour tout Rav !