Bonjour Rav,
Nous avons accepté la Torah sans savoir ce qu'il y avait dedans (Naasé vénichma), ce qui a fait notre spécificité vis à vis des nations, qui au contraire voulaient en connaitre le contenu avant de l'accepter...
Mais pourquoi, lorsqu'il s'agissait de la terre de Canaan, avons nous adopté l'attitude complètement inverse, en exigeant de la voir et de la sonder avant d'y entrer ?
En vous remerciant.