Chalon rav,
Il y a quelques semaines j'ai du prier un Chabbat dans une petite synagogue où seulement 10 juifs étaient présents.
- Sur ces dix juifs, 4 transgressaient Chabbat publiquement (consultation du téléphone, etc).
- Dans le doute, je n'ai pas répondu au Barekhou, ni au qaddish, ni à la qedoucha.
Ai je bien fait, ou faut il considérer en premier lieu l'Amour pour Israël ?
- Dans le doute, je n'ai pas répondu au Barekhou, ni au qaddish, ni à la qedoucha.
- Le vin n'était pas mevoushal, suis je tout de même acquitté du kiddoush si je l'écoute sans boire le vin ?
- Une connaissance plutôt âgée qui a appris récemment que sa mère était Juive, à tenu, pour la première fois de sa vie à dire le Kaddish pour sa mère décédée il y a plusieurs années.
Il reste néanmoins dans l'ignorance de la Torah la plus complète.
- Il a réunis un minyan au cimetière, pour réciter le Kaddish le jour du yorzeit.
- Nous nous sommes retrouvés 10 juifs, dans un cimetière goy, à réciter le Kaddish en face d'une croix chrétienne.
- L'homme était profondément bouleversé.
Mais était ce une mitsva ou une avoda d'avoir procédé ainsi ?- Sachant qu'il est totalement ignorant, ne faut il pas en ce cas considérer l'amour pour Israël ?
- L'homme était profondément bouleversé.
- Il a réunis un minyan au cimetière, pour réciter le Kaddish le jour du yorzeit.
Merci
Chalom